"La règle du bonheur, c'est de toujours garder le sourire. Alors comme ça, avec Raph', on a décidé de faire des cures de bonne humeur".
François Garagnon
Jade et les sacrés mystères de la vie
Eh oui, ça vaut le coup de regarder la Nouvelle Star jusqu'au bout (même si Télé Z annonce que le programme se termine une heure plus tôt que dans la réalité)!
Camelia-Jordana, cette fille qui a grandi élevée au couscous, je la trouve resplendissante. J'avoue qu'au début, j'avais un peu de mal avec ses grosses lunettes noires et sa frange qui lui cache la moitié du visage... mais l'habit ne fait pas le moine! Ca, je m'en suis tout de suite rendue compte. Mais alors ce soir, je l'ai vraiment trouvée magnifique. Peut-être n'était-ce qu'à cause de son interprétation parfaite de "Quelqu'un m'a dit", chantée avec une voix rauque et suave à la fois, une voix qui paraissait sortir tout naturellement de sa p'tite bouche en coeur, mais avec tellement plus d'intensité que l'interprète originale!
En tout cas, je dis bravo à cette "Beautiful Lady" (dixit André Manoukian) et...
pourvu que ça dure!
1. ptitboudevie le 09-04-2009 à 11:28:33
Je suis tombée sur sa prestation comme je regardais Dr House et c'est vraie qu'elle était magnifique, je ne pouvais pas zapé avant la fin.
Comme toi, j'avais un peu de mal avec ses grosses lunettes mais sa voix nous fait oublié ça.
2. polin le 14-04-2009 à 11:16:53
Je me suis mise à la nouvelle star par hasard et dés les débuts des castings, y'en a une qui sortait du lot, un look à la ugly betty et une voix .... je suis pas fan des voix féminines mais elle !! Wahou moi aussi elle m'a bluffée !! C'est comparable à Julien Doré et sa "Moi, Lolita" ou Christophe Wilhelm et "Sunny", prendre une chanson pas terrible et en faire un tube : c'est de la réinterprétation totale et c'est ça je crois être chanteur !!!
C'est un après-midi sous le signe du (bon) vieux temps: ciel gris et nuageux, comme pour nous rappeler que le printemps n'est pas encore tout à fait installé, on se gare sur un terrain où l'herbe pousse en toute liberté, on marche jusqu'aux stands qui, entre morceaux de ferraille et accessoires des années 90, offrent un intérêt certain dès lors qu'un objet vient nous rappeler d'aimables souvenirs d'enfance. Un livre sur le corps humain vu de l'intérieur, une tortue à roulettes, des cassettes vidéos, des boucles d'oreilles à clip... Et parmi la foule, des bonjours fraternels, des "combien pour ce vase?", des commentaires à tout va à chaque fois que l'on s'arrête pour regarder: "Très utile ce porte-couteau fluorescent".
Et puis, d'un coup, on sort de sa rêverie éveillée, on l'a reconnue, là, c'est elle, notre meilleure amie de lycée. Après des années sans nouvelles, une inquiétude grandissante, suivi de regrets que l'on pensait garder sur le coeur encore bien longtemps, la voilà, cette rencontre au hasard, tant rêvée! Le coeur battant, on se dirige vers l'objet de notre réveil brutal. On s'exclame, on s'embrasse, on résume sa vie en deux phrases... Puis, vient l'échange des numéros. Est-ce que ça lui fait vraiment plaisir de me revoir? Fera-t-elle en sorte qu'on rattrape tout ce temps perdu? Me répondra-t-elle cette fois, si je l'appelle? Incertain, nostalgique, notre esprit s'embrouille et préfère alors profiter du moment présent.
Quand les stands se font moins nombreux, la rencontre est déjà loin, on rentre chez soi gentiment, en ne pensant plus qu'aux acquisitions faites. Après l'opération nettoyage et mise en situation/essayage, on délaisse ses nouveaux objets pour se consacrer à soi. Un livre entre les mains, impossible de se concentrer. La rencontre resurgit dans notre esprit, on se sent toute chose, même triste, et on éprouve le besoin d'écrire. Ecrire pour reporter quelque part cette joie intérieure profonde qui nous a envahi et qui nous a ramené quelques années en arrière, avec notre sensibilité, notre ambition, notre questionnement incessant d'adolescent standardisé. Et l'on se retrouve là, mal dans sa peau, ne sachant que faire sinon espérer que CETTE fois sera la bonne.
Samedi 4 avril, journée sans achat.
Eh oui, il faut savoir boycotter si l'on veut que les prix baissent! Mettons-nous d'accord, il est hors de question de faire ça au boulanger du coin. Mais pour ce qui est des supermarchés et grandes surfaces en tout genre (y compris les boutiques de fringues, désolée pour votre séance hebdomadaire du samedi après-midi, il faudra se contenter de lécher la vitrine cette fois), des stations essence et tout ce qui est inflammable (alcool, tabac... jeux de grattage?), donnez-vous-en à coeur joie!
Enfin, pas trop quand même car il s'agit de ne pas avoir de PV ce jour-là.
C'est bien rentré? Alors on file acheter tout ce dont on a besoin pour le week-end (oui oui, pour le week-end. Ca n'est pas parce que les magasins sont ouverts le dimanche matin qu'il faut en profiter, ça non plus c'est pas bien!) et on fait passer le message.
Gentilles remarques