publié le jeudi 30 juillet 2009

16 choses que j'emporterais sur une île déserte

1- mon homme (j'avoue, c'est pas vraiment une chose, mais la femme-objet existe bien 

 


 
 
publié le mercredi 22 juillet 2009

Départ en vacances

Alors comme ça on part en vacances ? Enfin, j’ose supposer que je ne suis pas la seule à attendre le mois d’août avec impatience. Pour celles qui sont déjà sur la route, je leur souhaite bonne chance. Pour les autres, eh bien, je vous ai concocté une toute petite minuscule liste qu’il va falloir suivre à la lettre si vous voulez passer de bonnes vacances. Et que vous partiez à la mer,en plein air ou à la ville, je sais à quel point c’est dur de résister à la tentation d’amener toute sa garde-robe avec soi. Donc, en résumé, voici les premiers gestes qui sauvent avant un départ :

 


 
 
publié le mardi 07 juillet 2009

Le jour où je me suis jetée à l'eau

Vous avez remarqué ? Il fait chaud depuis quelque temps. Très chaud même. Impossible de rester l’après-midi dehors sans rentrer boire un verre d’eau, s’asperger la figure, ou simplement se poser quelques minutes, dans la pièce la plus fraîche de la maison. Tout ça pour dire que, quand on a pas la chance d’avoir la mer à côté, le week-end farniente qu’on prévoit depuis le début de la semaine est étonnamment beaucoup moins agréable que l’idée qu’on s’en était fait. C’est dans ces moments-là que l’on regrette de n’avoir pas écouté notre meilleure amie Clara qui, lors de notre énième crise d’asthme simulée après un footing en sa compagnie, nous avait gentiment suggéré la piscine : « Tu verras, si tu prends un abonnement, il sera vite rentabilisé ! Et puis l’eau, ça détend ». Ta-ta-ta. Les paroles d’une sportive de haut niveau comme Clara (20 minutes de footing tous les matins, c’est pas rien !), lorsqu’elles s’adressent à une fille comme moi, qui est incapable de se tenir à un sport plus de deux jours, ça rentre par une oreille et ça ressort de l’autre. Non mais, vous m’imaginez, moi, à la piscine ? A faire des longueurs sans broncher ? (déjà si je ne me sers pas de mes bronches, je suis mal !) Je ferai tellement pitié au maître-nageur qu’il me proposerait ses cours du soir. En finissant par accepter, je me découvrirai un don pour la natation. Et alors là, il serait tellement impressionné par la rapidité de mes progrès, qu’il m’inscrirait aussi vite à une compétition régionale. Et je la remporterais. Et je gagnerais comme ça, en gravissant les échelons un à un, jusqu’aux championnats d’Europe. Bien sûr, Clara serait à mes côtés, c’est elle qui m’a fait découvrir ce sport après tout, mais je l’aurais un peu dépassée, grâce à mon crawl-plus-puissant-tu-meurs, et à mes heures d’entraînement intensif avec Philippe. Philippe, ça sonne bien, non, pour un entraîneur ? Et puis, on passerait toutes les deux au journal de vingt heures…